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OURRA

LE CHEMIN DES PREMIERS APOTRES

OURRA, en quelques chiffres:

 

- 25.000 : Nombre de spectateurs sur 2 saisons.

- 22 : Soirées jouées à guichets fermés.

- 1 des trois meilleurs spectacles de la saison 2012 du Palais des Congrès de Paris, pour la rapidité de vente des billets.

- Un résultat financier positif, ayant permis de financer d'autres associations caritatives.

- Un spectacle qui se remonte, par une autre troupe au Togo.

- 180 personnes pour faire “tourner” le spectacle.

- Plusieurs centaines de places offertes à des associations caritatives.

- Un orchestre philarmonique pour enregistrer le CD.

- Des dizaines et des dizaines de témoignages bouleversants.

- 1 heure, seulement, pour vendre, dès 6 heures du matin, toutes les places d’une soirée!

La "genèse" du projet

“Tout a commencé en 2007, lorsque l’évêque de Nanterre, Mgr Gérard Daucourt, demande à chaque paroisse de son diocèse de créer son propre projet d’évangélisation.

Éric Libault, 45 ans, directeur d’entreprise dans le secteur financier, lance à la volée l’idée d’une comédie musicale au cours du conseil paroissial de Vaucresson. « Enfant, j’avais été marqué par une pièce sur les Actes des apôtres, mais au-delà de cela, il m’apparaissait évident que si l’on voulait parler d’évangélisation, il fallait faire quelque chose autour de ce texte. »

L’idée ne trouve pas d’emblée un écho. Pourtant, Éric Libault s’attelle pendant un an à l’écriture des dialogues et des chants, et sonde quelques amis enthousiasmés par le projet. Il faut alors trouver les acteurs… Ce seront des paroissiens de Vaucresson, de Garches et des alentours, recrutés par le bouche-à-oreille. Le curé de Vaucresson le P. Jean-Paul Cazes se lance lui aussi dans l’aventure et ouvre ses portes aux répétitions.

Pas de miracle : avec 40 comédiens de 10 à 83 ans qui, pour la plupart, n’ont jamais mis les pieds sur une scène, il faut beaucoup, beaucoup travailler. Plus d’un an de répétitions hebdomadaires, puis plusieurs fois par semaine, mais aussi quelques coups durs et déboires qui ont soudé la troupe. « Si nous voulions toucher des spectateurs éloignés de la foi,  souligne Éric Libault, il fallait leur offrir un spectacle de qualité. L’exigence fait partie de l’évangélisation. »

Pour autant, le succès de ce spectacle enlevé étonne encore ses organisateurs. « La vraie raison de ce succès, c’est l’Esprit Saint,  sourit Éric Libault. Même si nous y avons contribué, il nous dépasse complètement. Pour preuve, les témoignages que nous recevons des spectateurs : ce qui les bouleverse, c’est la force de la Parole de Dieu, et pour chacun, un passage ou un chant différent, comme si elle rejoignait chacun là où il se trouve. »…/…

« Grâce à ce spectacle, je vis plus intensément la parole de Dieu », témoigne Étienne Maraval. Ce directeur marketing et communication (il a suivi le cours Simon pour comédiens) dans une société informatique interprète avec brio l’Esprit Saint, personnifié astucieusement en jardinier débonnaire, comme celui qui inspire les apôtres et décrypte l’Écriture avec pédagogie pour le public.

« Une personne m’a écrit pour me dire qu’elle avait eu le sentiment, après le spectacle, de sentir l’Esprit Saint auprès d’elle, alors qu’elle animait la messe de sa paroisse,  poursuit Étienne Maraval. Comme elle, beaucoup découvrent un peu plus sa présence dans leur vie. »  Ce qui incite déjà Éric Libault à songer à de nouveaux projets d’évangélisation…

Une aventure humaine

Eric Libault, initiateur du projet et auteur-compositeur du spectacle, en a parlé autour de lui. Le "bouche à oreilles" a fait le reste.

Avocat, artisan, consultant, enseignant, retraité, chômeur, chef d’entreprise, collégien, marketeur, communiquant, médecin, mère au foyer, directeur de banque, etc… ils sont près de deux cents à s’être mobilisés, chacun selon ses talents.

Croyants, non croyants, croyants en chemin, de 9 à 83 ans, ils ont décidé de s’embarquer dans cette véritable aventure humaine en tant que comédiens, chanteurs, musiciens, costumières et accessoiristes, scénographe, metteur en scène, trésorier, responsables des décors, et tout autre rôle nécessaire à la préparation de ce projet d’envergure.

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